ENTREVISTA COM PROFISSIONAIS DA FILOSOFIA QUE ATUAM EM PROJETOS – BLOCO ICom: Lucas Dilacerda, Paulo Jorge Leandro, Paulo W. Lima, Raquel R. RochaPor: Antônio Alex Pereira de Sousa, Paulo Willame Araújo de Lima.

Introduction: Early recognition of prediabetes may prevent progression to diabetes, yet not all adults are aware of their prediabetes risk. To reach all adults unaware of their risk, additional risk assessment strategies are warranted. Objectives: The objective of this study was to evaluate the potential scope of benefit from prediabetes risk assessment in the dental care setting and to identify characteristics of dental patients likely to unknowingly have prediabetes or diabetes. Methods: Data from 10,472 adults in the National Health and (...) Nutrition Examination Survey from 2013 to 2014 and 2015 to 2016 were analyzed for associations among prediabetes/diabetes risk factors, health care use, and hemoglobin A1C levels according to chi-square tests and multivariate logistic regression. Results: A total of 7.73% of US adults had seen a dentist but not a medical provider in the past 12 mo. The composition of this subpopulation was significantly different from that who saw a medical provider, in ways that might affect their diabetes risk. In addition, 31.27% of this subpopulation would be identified as being at high risk for prediabetes according to the CDC Prediabetes Screening Test, and 15.83% had hemoglobin A1C levels indicative of undiagnosed prediabetes or diabetes. Screening in a dental setting would have the highest odds of identifying someone unaware of his or her diabetes risk among those who were non-White, obese, or ≥45 y old. Conclusion: Extrapolation from this analysis indicates that screening for prediabetes at dental visits has the potential to alert an estimated 22.36 million adults of their risk for prediabetes or diabetes. Incorporating prediabetes or diabetes risk assessment into routine dental visits may enable 1) those with prediabetes to take action to decrease their risk of developing diabetes and 2) those with diabetes to engage in treatment to decrease their risk of diabetes-related complications. Knowledge Transfer Statement: Screening for prediabetes and diabetes during dental visits has the potential to raise patients’ awareness of diabetes risk and prevent prediabetes from progressing to diabetes. For some patients, the dental visit may be the only point of contact with the health care system, which heightens the importance of including diabetes risk assessment for patient well-being. (shrink)

Introduction: The actions taken by the government to deal with the consequences of the coronavirus diseases 2019 pandemic caused different levels of restriction on the mobility of the population. The need to continue offering physical exercise to individuals after stroke became an emergency. However, these individuals may have barriers to adhere to the programs delivered remotely. There is a lack of evidence related to adherence, attendance, safety, and satisfaction of remote exercise programs for this population.Objective: The aim was to evaluate (...) adherence and barriers to attend a remote physical exercise program for individuals after stroke. We aimed to identify adherence and attendance rate of the remote physical exercise program ; to identify the safety of a remote physical exercise program ; and to identify the overall experience to participate in a remote program.Materials and methods: This is a longitudinal study, including 36 stroke survivors who already attended a face-to-face physical exercise program prior to the COVID-19 pandemic. The remote physical exercise program included sessions for 2 days/week for a duration of 22 weeks, with a total of 44 sessions, which were delivered asynchrony via recorded video sessions. As outcome measures, we performed two questionnaires to identify attendance, barriers, safety, and overall experience related to the program.Results: The adherence rate was 86. The attendance rate was 19, with a total of 8 sessions. The main barriers for lower attendance rate were as follows: lack of motor skills and physical fitness to workout in 80 reports, followed by no exercise companion in 44 reports. The remote physical program has been shown to be safe, and the overall experience was positive from the perspectives of the participants and the family members.Conclusion: Although the adherence rate was high, the attendance rate was low on the remote physical exercise program. The main barriers to attending the program remotely reflect the need of tailoring individually an asynchrony mode of delivering the sessions to individuals after stroke. Our results also indicate how the COVID-19 impacted the health conditions of stroke survivors. The program was safe, and the overall experience indicated a change in the mental, physical, and social health of individuals after stroke and their family members. (shrink)

The paper „F. W. Bessel and Russian science by K. K. Lavrinovich published in NTM-Schriftenreihe contains several errors coming mainly from re-translations of German names and texts from Russian into German. The correct spelling of names and original texts are given here. Beside this, some additional information from sources not mentioned by the author is presented, and the kind of relationship between Bessel and W. Struve is discussed on the basis of their correspondence.

Le culte grandiose de Kali, la Mère, son incomparable symbolisme, ses litanies et ses chants, embrasse l'âme de l'univers qu'il glorifie comme aucune conception religieuse ne le fit jamais. La terrifiante déesse sème la peste et les pires ravages sur ses pas, tout en accordant sa grâce et sa clémence à ses enfants assez hardis pour soulever l'horrible masque derrière lequel elle se cache la figure. Ceux-là retrouveront les traits radieux qui ont enchanté leur enfance. La sublime conception de Kali, (...) la Mère, découle d'une philosophie moniste qui s'écarte pourtant sensiblement de la philosophie Védanta de Shankara. Tous deux partent, il est vrai, de la même idée. Ils admettent l'un et l'autre une substance une, indivisible et éternelle, que les Védantins appellent Brahma et les adorateurs de Kali, la Mère, Siva. Mais il y a divergence quant aux manifestations. Pour Shankara il n'y a qu'illusion. Il tranche le lien qui rattache le phénomène à l'absolu. Il se demande qui a pu susciter l'apparence. Mais, l'absolu étant la vérité même, il n'a pu engendrer l'apparence pas plus que la lumière n'aurait pu engendrer l'obscurité. Qu'y avait-il donc de commun entre les Brahmas et Maya? A première vue il semble qu'il n'y a aucun rapport. Pour Shankara il n'était besoin d'aucune relation, puisque Maya n'existe pas en réalité et que le monde n'est que mirage. Le monde n'existe que pour l'esprit qui est lui-même sujet aux hallucinations. Adorer la Mère, c'est accepter l'univers dans ses aspects les plus terrifiants. Cette philosophie est diamétralement opposée au christianisme dans son culte du Dieu d'amour, du Père plein de miséricorde. Le christianisme enseigne que tout se fait pour notre bien, tandis que pour les adorateurs de Kali, l'univers est féroce et hostile à l'homme, qui avant tout doit se montrer supérieur aux événements. Mais Kali n'est pas seulement la destructrice. Si elle démolit inexorablement toutes les formes vitales qui ont fait leur temps et qui se détériorent, elle en crée au fur et à mesure des nouvelles. C'est dans cette conception de la Mère qu'il faut chercher tout d'abord le mystère de l'esprit indien. Dans son essence la plus intime la mère du monde est l'absolu, est Siva même. Comme telle elle représente la connaissance, l'entité et la joie absolues. Pour les adorateurs de Kali les mots Mantram Saham (je suis elle) renferment la clef de la vie et dissipent crainte et tristesse. (shrink)

Notre époque, traversée de courants mystiques, manifeste un intérêt tout particulier pour les idées du neo-platonicien Plotin. Pour le platonicien l'univers participe à l'idée. Platon considérait les choses comme le reflet de l'idée, ce que Plotin se refusait à admettre. La diversité dont la vie fait preuve atteste son inépuisable richesse, et si les choses dans leur état particulier sont imparfaites et défectueuses, c'est que chaque chose représente sa particularité d'une façon imparfaite. Le dualisme platonicien se retrouve chez Plotin; à (...) côté du monde de l'erreur et de l'apparence il situe celui de la vérité et de la réalité. Mais l'ordre des deux mondes étant différent, nécessairement les catégories qui y règnent diffèrent. Contrairement au monde du temps et de l'espace, où tout est désaccord et combat, l'accord et l'harmonie règnent dans le monde de l'idée. D'après Platon l'idée de l'être implique l'idée du repos. Pour Plotin le mouvement et le repos ne sont pas incompatibles. Il y a encore un point de divergence entre les deux philosophes. Tandis que Platon conçoit le bien comme idée, Plotin le superpose au monde des idées et l'en sépare. A l'oppossé du maître il n'était pas dualiste mais moniste. La conception platonicienne du bien est purement éthique, c.a.d. humaine, la conception de Plotin est plus cosmique. L'univers lui apparaît comme une trinité: le monde sensoriel, le monde idéal et l'unité suprême, et il leur découvre une base commune. Tout en admettant l'imperfection du monde, Plotin nie qu'il soit mauvais et méprisable. Il se tourne contre les Gnostiques chrétiens qui prêchent le mépris du monde, et s'oppose vigoureusement aux doctrines qui font des jouissances sensuelles l'unique but de la vie. L'exercice de la vertu n'est autre chose que le moyen de s'unir à Dieu. Pour Plotin la vertu n'est donc pas une fin en elle-même, mais elle est subordonnée à un but qui la dépasse. (shrink)

Este artículo se centra en describir la problemática acerca de si los humanos deben seguir atrapados en una ciega evolución biológica o bien ellos deben pasar a elegir qué desean asumir. Ante tal disyuntiva se recuerdan la hipótesis optimista y la hipótesis pesimista. Al parecer, la especie humana, como el resto de las especies vivas, ha surgido en un proceso de evolución; es la única con capacidad de ser consciente de ello y, en parte, ha sido capaz, mediante las técnicas, (...) de poder adaptarse y de planificar en parte su futuro. Las biotecnologías están utilizándose cada vez más para el mejoramiento y perfeccionamiento de lo humano, convirtiéndose de ese modo en antropotecnias. Así, al orientarse estas nuevas tecnologías hacia y sobre su autor, el ser humano puede también convertirse en un peligro para él mismo. Los «transhumanistas » estiman, sin embargo, que los humanos deben arrebatar su destino biológico al proceso ciego de la evolución de la variación aleatoria y la adaptación, y pasar a la siguiente etapa como especie: la elección de nuestro ser. En la conclusión se patentizan las implicancias y consecuencias del hecho de ser humano y racional. (shrink)

En su inicio, el empirismo ha querido ser, en una época de profundas dudas y cambio:como ha sido la Época Moderna, una honesta crítica a los argumentos presentados por el racionalismo, según el cual se debía poner el fundamento del conocimiento en algunas verdade: innatas. La propuesta del empirismo hizo descansair esta esperanza en los datos fidedignos de la impresiones o experiencias sensofiales. En este artículo se analiza la concepción de idea que empleaba John Locke y sus argumentos para desautorizar, (...) una tras otra, las razones del innatismo. No obstante, en el ámbito moral, sigue manteniendo una luz de la naturaleza, ínsita em los hombres, que es recta norma para la razón., para quienes buscan conocetrla. De todos modos, que da establecido, con el empirismo de Locke, que explicar el conocimiento de una cosa implica explicar el origen que el hombre tiene de esse conocimiento, revalidando el valor de la investigación humana y de la historicidad del conocimiento. (shrink)

En el presente artículo se presenta, desde la filosofía, primeramente la tesis de L. Zea, según el cual la universidad del hombre americano, se halla en la aceptación de la diversidad concreta de las pluriformes maneras de ser de los americanos. Europa recién ahora se pone filosóficamente el problema de la pluralidad cultural. Se analiza luego la forma de considerar el gobierno y las leyes tanto de los americanos sajones como de los americanos latinos, cuando construyen sus propias formas de (...) ser. Se considera el intento y el fracaso al querer éstos imitar a aquéllos. Trata, además, la hipótesis de L. Zea según el cual la identidad de los pueblos latinoamericanos está en no tener ninguna que lo marque como pueblo y hombre común a toda América Latina, salvo ciertos rasgos de conducta común, derivados del talante conquistador español. Ortega y Gasset prolonga este análisis y lo centra en las influencias de la inmigración en Argentina, de lo que -entre otras causas- surge una explicación para ciertas conductas que dan forma a la identidad de los argentinos. Algo no ha cambiado en el modo de ser argentino: éste no se dedica primeramente a vivir la vida, sino a hacer fortuna y defenderse. Se identifica por lo que posee o desea poseer.This article presents, from a philosophical stand, firstly Leopoldo Zea's thesis according to which the American man's universality resides in his acceptance of the concrete diversity of the various ways of being American. Only now Europe is starting to consider philosophically the problem of cultural pluralism. Secondly, we analyze the way the Saxon Americans and the Latin Americans consider government and laws during their respective processes of becoming their own selves. We examine the intent and subsequent failure of the latter at trying to imitate the former; also, Zea's thesis according to which the identity of Latin American peoples lies precisely in not having a unique identity that define them as a man and people common to all Latin America, except for some behavioral traits deriving from the Spanish conqueror temper. Ortega y Gasset extends this analysis focusing on Argentina's immigration and concluding that this partially accounts for the Argentinean behavior and identity, their priority being to make a fortune and to defend themselves. Their identity rises from what they have or what they want to have. (shrink)

Significant research has been devoted to detecting people in images and videos. In this paper we describe a human de- tection method that augments widely used edge-based fea- tures with texture and color information, providing us with a much richer descriptor set. This augmentation results in an extremely high-dimensional feature space (more than 170,000 dimensions). In such high-dimensional spaces, classical machine learning algorithms such as SVMs are nearly intractable with respect to training. Furthermore, the number of training samples is much (...) smaller than the dimensionality of the feature space, by at least an order of magnitude. Finally, the extraction of features from a densely sampled grid structure leads to a high degree of multicollinearity. To circumvent these data characteristics, we employ Partial Least Squares (PLS) analysis, an effi- cient dimensionality reduction technique, one which pre- serves significant discriminative information, to project the data onto a much lower dimensional subspace (20 dimen- sions, reduced from the original 170,000). Our human de- tection system, employing PLS analysis over the enriched descriptor set, is shown to outperform state-of-the-art tech- niques on three varied datasets including the popular INRIA pedestrian dataset, the low-resolution gray-scale Daim- lerChrysler pedestrian dataset, and the ETHZ pedestrian dataset consisting of full-length videos of crowded scenes. (shrink)

Este artigo se dispõe a examinar um fenômeno social construído ao longo de séculos não só na sociedade brasileira, mas no mundo inteiro que culmina na definição de uma estética oprimida, excluída e invisibilizada: a estética da exclusão. Essa expressão vai sendo edificada ao longo dos anos através de práticas escravistas, segregadoras, classistas e “aporofóbicas” que se desdobram também em outras fobias à grupos economicamente vulneráveis e naturalmente subalternizados. Este trabalho recorre a alguns recortes da história do Brasil, autores do (...) pensamento social brasileiro e questões atuais que evidenciam a discrepância, ainda, estimulada por diferenciações estéticas que interferem de forma arbitrária, naturalizando tais práticas e aumentando a distância entre os que serão excluídos pela sua estética. (shrink)

Inleiding in de moderne logica - met name de syllogistiek - bedoeld voor zelfstudie en inleidende academische cursussen.

Le culte grandiose de Kali, la Mère, son incomparable symbolisme, ses litanies et ses chants, embrasse l'âme de l'univers qu'il glorifie comme aucune conception religieuse ne le fit jamais. La terrifiante déesse sème la peste et les pires ravages sur ses pas, tout en accordant sa grâce et sa clémence à ses enfants assez hardis pour soulever l'horrible masque derrière lequel elle se cache la figure. Ceux-là retrouveront les traits radieux qui ont enchanté leur enfance. La sublime conception de Kali, (...) la Mère, découle d'une philosophie moniste qui s'écarte pourtant sensiblement de la philosophie Védanta de Shankara. Tous deux partent, il est vrai, de la même idée. Ils admettent l'un et l'autre une substance une, indivisible et éternelle, que les Védantins appellent Brahma et les adorateurs de Kali, la Mère, Siva. Mais il y a divergence quant aux manifestations. Pour Shankara il n'y a qu'illusion. Il tranche le lien qui rattache le phénomène à l'absolu. Il se demande qui a pu susciter l'apparence. Mais, l'absolu étant la vérité même, il n'a pu engendrer l'apparence pas plus que la lumière n'aurait pu engendrer l'obscurité. Qu'y avait-il donc de commun entre les Brahmas et Maya? A première vue il semble qu'il n'y a aucun rapport. Pour Shankara il n'était besoin d'aucune relation, puisque Maya n'existe pas en réalité et que le monde n'est que mirage. Le monde n'existe que pour l'esprit qui est lui-même sujet aux hallucinations. Adorer la Mère, c'est accepter l'univers dans ses aspects les plus terrifiants. Cette philosophie est diamétralement opposée au christianisme dans son culte du Dieu d'amour, du Père plein de miséricorde. Le christianisme enseigne que tout se fait pour notre bien, tandis que pour les adorateurs de Kali, l'univers est féroce et hostile à l'homme, qui avant tout doit se montrer supérieur aux événements. Mais Kali n'est pas seulement la destructrice. Si elle démolit inexorablement toutes les formes vitales qui ont fait leur temps et qui se détériorent, elle en crée au fur et à mesure des nouvelles. C'est dans cette conception de la Mère qu'il faut chercher tout d'abord le mystère de l'esprit indien. Dans son essence la plus intime la mère du monde est l'absolu, est Siva même. Comme telle elle représente la connaissance, l'entité et la joie absolues. Pour les adorateurs de Kali les mots Mantram Saham (je suis elle) renferment la clef de la vie et dissipent crainte et tristesse. (shrink)